Abandon

Nul ne peut être seul ! De la naissance à la mort, l’humanité de l’Être réside dans son extrême dépendance à autrui ; cette faiblesse, qui est aussi et paradoxalement une force, l’expose, par contrecoup, à l’angoisse d’abandon. Celle-ci ne traduit pas seulement la peur de se retrouver seul mais aussi, et de façon plus existentielle encore, la hantise de n’être pas reconnu et de n’être plus rien, d’être rejeté.

» LES MOTS EN TRAVAIL SOCIAL